Comparatif https://ottawaphotographer.com/txofnj8tk VPN https://www.scarpellino.com/xyuepzlgutf gratuits/payants

Le top cinq des pays qui censurent le plus!

Buy Ambien From India par Agathe, le 14 mai 2013

C’est https://www.fogliandpartners.com/lsuojo4 Reporters sans frontières qui a pu établir cette liste que nous vous révélons sans suspens aucun : il s’agit de la Syrie, de la Chine, de l’Iran, du Bahreïn et du Vietnam.

Les cyber-activistes trouvent de nouveau moyens pour https://municion.org/moe9lkbejp contourner les blocages? Eh bien les états demandent aux https://www.onoranzefunebriurbino.com/rn0tzunepbn entreprises chargées de surveiller leurs citoyens pour eux de redoubler d’efforts afin de leur rendre la vie numérique encore plus difficile. Les noms de ces entreprises sont révélées par RSF : Blue Coat, Gamma, Trovicor, Hacking Team et Amesys;et voici ce que nous pouvons lire dans le rapport établi : « Leurs produits, des outils d’ « optimisation de réseau ou de lutte contre la criminalité » ont été ou sont utilisés par les autorités de pays répressifs pour commettre des violations des droits de l’homme et de la liberté de l’information.

https://www.plantillaslago.com/750skpwr Les produits de surveillance et d’interception de l’entreprise Trovicor ont permis à la famille royale du Bahreïn d’espionner et d’arrêter des https://ballymenachamber.co.uk/?p=bwvseh58aa4 acteurs de l’information. En Syrie, les produits DPI (Deep Packet Inspection) développés par Blue Coat ont offert au régime la possibilité d’espionner les dissidents et net-citoyens de tout le pays, de procéder à des https://chemxtree.com/brm4own arrestations et des actes de torture. Les produits Eagle fournis par la société Amesys ont également été découverts dans les locaux de la police secrète de Mouammar Kadhafi. Les logiciels malveillants conçus par HackingTeam ou Gamma ont permis la récupération par les autorités de https://www.infoturismiamoci.com/2025/03/37ub2qso mots de passe de journalistes et net-citoyens ».

RSF demande ainsi une vérification et une inspection de l’exportation de technologies de surveillance vers les pays qui foulent aux pieds les droits fondamentaux. Un jour, un tel contrôle sera peut-être mis en place… en attendant, les cyber activistes trouvent sur le site WeFightCensorship.org un « kit de survie numérique » qui les aidera à franchir quelques obstacles.

source : http://www.lemonde.fr/technologies/article/2013/03/12/rsf-liste-les-pays-et-entreprises-ennemis-d-internet-en-2012_1846625_651865.html